Les sons porteurs de Chi : La recherche

La notion de Chi (Qi en PinJin) pourrait être apparentée à la notion d’énergie. Le Chi, dans la pensée chinoise, est une énergie qui règne partout, qui fait naître toute chose et qui les transforme. Elle se transforme également elle-même pour se présenter tantôt sous une forme subtile et dépourvue de support matériel, tantôt sous une forme sensible et perceptible dans les corps physiques. Des pratiques qui visent à maîtriser le Chi existent en Orient depuis des temps immémoriaux. Elles sont transmises de maître à disciple, disciple qui aspire à atteindre, à son tour, l’état de « l’homme véritable », « l’homme qui chevauche le vent » dont l’homme ordinaire, tourmenté par ses désirs et ses revendications, asservi par ses besoins, ses habitudes ou ses passions, malheureux ou malade, est exactement le contraire.

Vlady Stévanovitch a eu accès à cet enseignement dès son extrême jeunesse, et il poursuit cette recherche depuis 60 ans, soutenu et approuvé par de grands experts orientaux. Il enseigne depuis 50 ans et a formé des centaines de professeurs et des milliers d’élèves qui pratiquent dans le monde entier selon sa méthode qui rend accessible aux Occidentaux les techniques de Chi traditionnelles. Musicien, il a, depuis toujours, cultivé les sons enrichis de Chi pour aboutir aujourd’hui à une maîtrise remarquable de l’émission du Chi par des techniques vocales spécifiques. Il s’agit de production par l’appareil phonateur humain, de sons, de bruits ou de cris, très éloignés du chant dont nous avons l’habitude.

Nous utilisons simplement le mot « son » pour désigner ces phénomènes acoustiques très particuliers caractérisés par leur charge de Wou. Ces sons sont donc enregistrés et travaillés par des moyens techniques sophistiqués. On effectue d’abord des superpositions et itérations, réalisables uniquement par le système numérique de reproduction sonore et produisant une puissance énergétique potentielle comparable à celle que produiraient des milliers de personnes effectuant la même technique en même temps. Ces nouveaux sons à Wou amplifié sont ensuite analysés par différentes méthodes utilisant les transformées de Fourier. Des fréquences précises en ont été extraites pour constituer des programmes thérapeutiques inspirés des travaux de Nogier.

Il ne faut pas oublier que le son n’est qu’un support de Chi. Enregistré et reproduit, il a des effets en tous points comparables avec le Chi d’origine mais présente quand même des différences qualitatives qui n’ont pu être objectivées.

Il était donc nécessaire d’avoir recours à un autre terme, le Wou, pour les distinguer.

Une expérimentation méthodique faite par des médecins sur 400 patients en 1400 séances a démontré l’exceptionnelle efficacité des ondes Wou. Sans entrer ici dans les détails statistiques, un aspect des traitements par le Wou fait l’unanimité des patients en sa faveur : c’est la paix, le bien-être et le bonheur qu’ils en éprouvent.

Il ne reste plus qu’à en trouver l’explication scientifique.